Nucléaire »¦ danger permanent
Certain trouveront « indécent » qu’on exploite la catastrophe qui a eu lieu au Japon pour parler de la politique énergétique française.
Mais l’indécence est de continuer à défendre mordicus que « chez nous les centrales sont sûres » : non, les centrales nucléaires françaises ne sont pas sûres. Aucune centrales nucléaires n’est sûres. Un incident de petite importance (panne d’un générateur de secours par exemple) peu entraîner un nouveau Tchernobyl.
EDF l’a reconnu elle même : l’EPR ne résisterai pas à la chute d’un avion.
Rien que pour le le moins de février, 34 anomalies de sécurité ont été détectées sur le centrales nucléaires françaises. Et c’est anomalies ne sont pas des moindres : il ne s’agit pas moins d’anomalies touchant les systèmes de refroidssement pour éviter la fusion des cœurs des centrales.
L’effet de serre aidant, les centrales nucléaires seront de plus en plus vulnérables. En 2003, lors de la canicules, ont a craint de ne plus pouvoir les refroidirs par manquent d’eau. L’effet de serre attaque le nucléaire, le nucléaire n’attaque pas l’effet de serre.
En France le lobby nucléaire est tout puissant et bloque tout alternative au nucléaire et donc à l’effet de serre : chaque euros investi dans le nucléaire est autant d’euros en moins dans les économies d’énergie et les energies renouvelables.
Hors à investissement égal [1], les économies d’énergies et les énergies renouvelables produisent plus d’emplois et d’énergies, comme le prouvent les scénarios Negawatt et « un courant alternatif pour le grand Ouest ».
Il est urgent de sortir de cette énergie cher, polluante, dangereuse, peu créatrice d’emploi.