Un texte à ne pas manquer pour comprendre l’affaire SNCF

Moi, Maïeul Rouquette :

  • petit-fils de Georges Lipietz, arrêté en mai 1944 avec sa mère, son beau-père et son frère. Amené à Toulouse depuis Pau. Transporté dans un wagon à bestiaux affrété par la SNCF, facturé troisième classe, entassé, sans eau. Gardé jusqu’à la libération de Paris, et même après par des gendarmes Français. Ayant vu partir des enfants vers les camps de la mort, ayant vécu pendant 60 ans avec ces cauchemars, au point d’être reconnu invalide
    à 55% en raison de ses séquelles psychologiques particulièrement graves. Ayant décidé d’entamer un requête contre l’Etat Français et la SNCF pour leur responsabilités dans son internement traumatisant, en septembre 2001. Mort un vendredi Saint de l’année 2003, sans avoir vu le résultat de ce procès, sûrement enterré car trop "polémique"....
  • Fils de Rémi Rouquette, avocat reconnu en droit administratif, le premier à avoir compris l’évolution de la jurisprudence, avec la disparition encore, hélas, inachevé, du mythe Gaullo-Communistes que l’Etat de Vichy n’était pas l’Etat actuel, que la SNCF n’était pas unanimement résistantes, bien au contraire.
  • Fils d’Hélène Lipietz, qui a vécu le complexe du survivant.
  • Jeune de seize ans.
  • Membre des Jeunes Verts, parti qui lutte pour que les services publics soit réellement des services publics, et non pas des machines "à faire rouler des trains" (sic M. Mingasson, secrétaire général de la Sncf), dans l’unique but de montrer que l’on peut faire "rouler des trains", sans se soucier de "pourquoi faire rouler des trains" (un peu comme "augmenter la consommation", sans savoir pourquoi...)
  • Chrétien.

Donc, moi, Maïeul, pour toute les raisons sus-cités vous invite à lire la réponse à l’appel de la SNCF : meilleur manière de répondre à toute les critiques, notamment celle venant de journaux dit de gauche, tel que Le Monde.